Des investissements en culture en augmentation depuis 2013

La responsable de la culture et de la vie communautaire à la Ville de Matane, Sylvie Caron, lors de la consultation en vue de l’élaboration du prochain plan d’action culturel, mercredi, au Riôtel Matane. Photo : Romain Pelletier

De 2013 à 2017, la Ville de Matane a réalisé 43 des 63 actions du plan d’action de sa politique culturelle, soit 76 %, pour des investissements de 1 977 910 $. Et depuis, ils ne cesse d’augmenter.

Quelques faits saillants : installation d’une colonne Morris à la place des Générations, mise en place de présentoirs extérieurs pour des expositions photographiques, mise en valeur de la collection « La couleur de la Gaspésie » du peintre Claude Picher, ainsi qu’éclairage de l’hôtel de ville, du CLSC et du complexe culturel Joseph-Rouleau.

À cela s’ajoute entre autres la tenue du Festi-Mots et d’animations à la bibliothèque municipale, la création du Fonds de développement culturel (17 projets soutenus), mise en valeur du créneau de l’image, mise en valeur  de l’art public et de la Grande place des îles avec un écran géant extérieur.

L’hôtel de ville profite d’un nouvel éclairage. Photo : Romain Pelletier

De bons coups

Depuis 2012, la Ville estime avoir réalisé de bons coups : l’acquisition de la collection de négatifs et de photos du Studio Victor Sirois, l’offre de cachets aux artistes pour des performances, droits d’auteur, etc., l’installation d’une borne interactive sur la promenade des Capitaines et l’actualisation du comité consultatif de la culture. 

Elle est fière d’avoir soutenu la naissance du festival de l’image PHOS, l’installation de la Société d’histoire et généalogie de Matane dans l’ancienne église Bon-Pasteur, la venue de nouveaux organismes comme le Brasier et Arts3 sans domicile fixe, l’investissement en équipements dans l’auditorium de l’école secondaire et l’ installation du diffuseur de spectacles Kamélart, la réalisation de Mouvances et l’arrivée de Matane en lumières.

À venir : le Carrefour des arts numériques, la cellule interculturelle et la Halte des créations.

Richard Z. Sirois, dont le grand-père Victor Sirois, le photographe est qui a fondé le Studio Victor Sirois. Ici, près d’un présentoir au parc des îles de Matane. Photo : Romain Pelletier