Éphémérides du 16 octobre : le haut du clocher de l’église Saint-Jérôme de Matane en 2011 devra être remplacé

Le coût des travaux ne doit pas dépasser le coût des travaux de 1,2 million $. Photo : Collection Romain Pelletier

Le 16 octobre 2011, comme il n’est pas question d’injecter plus d’argent pour restaurer la partie supérieure du clocher de l’église Saint-Jérôme, le diocèse, la Fabrique, les professionnels et l’entrepreneur doivent trouver une solution de remplacement.

Celle-ci ne doit pas dépasser le coût des travaux de 1,2 million $, financés à 70 % par le Conseil du patrimoine religieux du Québec et le reste par le milieu.

D’ici à ce qu’on s’entende sur la construction d’une structure permanente pour protéger les cloches, l’entrepreneur poursuivra les travaux de démolition et de protection des biens au cours de l’automne. Puis, il sécurisera le chantier pour l’hiver, une fois les cloches à l’abri des intempéries et les échafaudages enlevés.

Opinions des paroissiens demandées

La présidente de la Fabrique, Aldéa Sirois, prévoit la tenue d’une assemblée d’information en novembre, à l’intention des paroissiens.

« Nous les mettrons au courant, dit-elle, des derniers développements. De leur côté, ils pourront nous nous faire part de leurs opinions quant aux solutions avancées pour régler le problème. »

Le problème avec le haut du clocher, c’est que le béton situé au-dessus du plancher des cloches et servant à retenir la pierre de parement et le toit du clocher est de piètre qualité. Il doit être enlevé. Ce qui représente une facture supplémentaire de 300 000 $.

Jusqu’à la fin août, soit près de deux mois après le début des travaux, personne ne s’en était rendu compte, même après toutes les investigations réalisées par différents professionnels depuis plusieurs années. Ce qui a forcé l’interruption des travaux.

Au cours des prochaines semaines, l’entrepreneur continuera à enlever des pierres à l’avant. Une fois qu’elles seront coupées, il les reposera au printemps. Photo : Collection Romain Pelletier

Autres éphémérides 

Le 16 octobre 1681, conseiller au conseil souverain, Mathieu D’Amours de Chauffours reprend son siège après plus de mois d’emprisonnement au  Château Saint-Louis à cause de l’irascible de Frontenac.

Le 16 octobre 1860, ouverture des registres de la paroisse de L’Assomption-de-Notre-Dame (Baie-des-Sables).

Le 16 octobre 1894, le conseil du village de Saint-Jérôme de Matane adopte le règlement pour empêcher les voitures à cheval « à passer plus vite qu’au trotte » sous peine d’une amende de 2 $ appliquée par les inspecteurs de voirie.

Le 16 octobre 1924, assemblée générale annuelle de la Chambre de commerce de Matane sous la présidence de J. S. Russell. Les membres de Matane remercient ceux de Cap-Chat pour la réception à eux faite lors de la dernière assemblée. Les membres dont les noms suivent sont nommés conseillers pour la prochaine année : L.-J. Levasseur, président, J.-Étienne. Gagnon vice-président, Raoul Fafard secrétaire, J.-Arthur Desjardins trésorier, E. S. Hallaway, Willie Russell, Paul Dugas, Dr. J. A. Bergeron, Louis Dionne, P. A. parent, Émile Côté, Léo Beauchemin, J. S. Russell, Capitaine. J. E. Heppell comme conseillers.

La Chambre se déclare anxieuse de voir se réaliser le parachèvement de la route maritime et elle suggère que des demandes soient faites auprès des députés des comtés de Matane et Gaspé pour qu’ils s’entendent entre eux et avec les divers conseils municipaux intéressés pour compléter le dit chemin maritime encore inachevé et principalement dans ses extrémités ouest et est respectivement jusqu’à Saint Joachim dans le comté de Gaspé et à Sainte-Flavie dans le comté de Matane.

Le 16 octobre 1931, Adolphe Otis cesse d’être le maître de poste du bureau de Sainte-Félicité. Il l’était depuis le 20 août 1926.

Le 16 octobre 1931, ouverture de la Caisse populaire de Baie-des-Sables, Gérard Labrie y est le premier gérant jusqu’en 1961.

Le 16 octobre 1941, Joseph Saint-Laurent termine comme maître de poste de du bureau de Cherbourg. Il occupait cette fonction depuis le 2 octobre 1939 alors que le bureau portait le nom de Schickshock.

Le 16 octobre 1948, la Ville de Matane achète une machine à dégeler l’eau.

Le 16 octobre 1950, la Ville de Matane nomme l’étude d’avocats Gagnon & Gagnon mandataire pour présenter à la législature provinciale un projet de bill amendant la charte de la ville pour lui permettre de lever une taxe de vente de 2 %.

Le 16 octobre 1968, visite de Jean-Marie Morin, ministre d’État, délégué à la Jeunesse, aux Loisirs et aux Sports.

Le 16 octobre 1976, l’Association pour le saumon de la Baie-des-Chaleurs tient une importante assemblée à Matane en vue d’améliorer cette richesse naturelle.

Le 16 octobre 1985, le député péquiste de Matane, Yves Bérubé (1940 à 1993), cesse d’être ministre de l’Enseignement supérieur, de la Science et de la Technologie dans le cabinet de Pierre-Marc Johnson.

Le 16 octobre 1985, le premier Carrefour de la sous-traitance de l’Est du Québec réunit à Rivière-du-Loup les représentants de 80 entreprises dans le but d’échanger des contrats.

Le 16 octobre 2000, la nouvelle église de Saint-Luc prend forme depuis que les travailleurs ont installé la structure d’acier. Plus petite que l’ancienne qui a été détruite par les flammes en janvier 1999,1’église pourra accueillir environ 160 personnes. Si tout se poursuit normalement, les paroissiens pourraient en profiter dès Noël.

La structure en acier de la nouvelle église de Saint-Luc. Photo : Collection Romain Pelletier
Le 16 octobre 2006, le garage du concessionnaire Hyundai est en construction sur l’avenue du Phare Ouest à Matane. Photo : Collection Romain Pelletier

Le 16 octobre 2014, lancement de la publication « Matane d’hier à aujourd’hui » de la Ville de Matane à la Société d’histoire et de généalogie de Matane, au Pavillon de la Cité.

Le 16 octobre 2018, lors du Festi-Mots, lancement de la brochure d’histoire « Matane , racontée en images », réalisée par la Ville.