
Le 17 juillet 1954, le remorqueur Florence W coule entre Pointe-au-Père et Matane, causant la mort du capitaine Raoul Castonguay de Matane et du mécanicien Joseph Collin de Saint-Narcisse.
Une panne de moteur oblige le capitaine Raoul Castonguay, peu après son départ de Rimouski, à faire un arrêt à Pointe-au-Père pour permettre à l’ingénieur Joseph Collin d’effectuer des réparations.
Temps pluvieux et brouillard
Le remorqueur doit se rendre à Matane, mais n’atteint pas sa destination. Un temps pluvieux et du brouillard empêchent de commencer les recherches.
Le corps de Joseph Collin est retrouvé le 11 août 1954 sur la plage à Sainte-Félicité.
Construit en 1919, le bateau portera le nom de Rimouski. Il fut utilisé par la compagnie scierie Price Brothers à Rimouski pendant plusieurs années.
Autres éphémérides
Le 17 juillet 1872, construction de trottoirs en bois depuis le jardin d’Alexandre Fraser écuyer jusqu’à la maison de James Grant du côté ouest de la rivière, et depuis la maison du Dr Jean-Pierre Pelletier jusqu’à la maison de James Grant du côté est de la rivière.
Le 17 juillet 1893, entrée en vigueur du décret séparant la municipalité de village de Saint-Jérôme de Matane de celle de la paroisse. Le territoire de la municipalité du village comprend les deux côtés de l’estuaire de la rivière Matane à son embouchure. La municipalité de la paroisse Saint-Jérôme de Matane conserve tout le reste du territoire de la seigneurie et il en sera ainsi jusqu’aux années 1950. La municipalité du village de Saint-Jérôme acquit son statut de ville le 28 décembre 1937. La population était alors de 6 680 âmes. Au fur et à mesure de son développement, la ville a élargi ses limites.
Le 17 juillet 1894, sous la présidence du député de Rimouski, Auguste Tessier, et du ministre des Terres de la Couronne, Edmund James Flynn, des centaines de membres des cercles agricoles du diocèse de Rimouski se réunissent en congrès à Rimouski.
Le 17 juillet 1904, Cléophas Pelletier termine comme maître de poste du bureau de Petit-Matane. Il l’était depuis le 1er août 1899.
Le 17 juillet 1936, Yvon Ouellet et son épouse retrouvent le corps d’Edmond Desrosiers âgé de 10 ans et demi, au pied du quai de la Hammermill. Il s’était noyé le 25 juin.
Le 17 juillet 1937, dans la Circulaire au Clergé,, on souligne que la vie du notaire Joseph-Étienne Gagnon s’est dispensée au service de ses concitoyens. Sa vigoureuse vieillesse se voit l’objet du respect de tous. Après son décès en 1941, la Ville de Matane acheta sa belle maison et en fit son premier hôtel de ville jusqu’en 1969. Parmi les enfants de J.-Étienne Gagnon, mentionnons Jean-Charles, devenu pharmacien, et Paul-Émile, avocat réputé à Rimouski. Et que dire de son illustre fils, Antoine, devenu monseigneur.
Le 17 juillet 1950, la Ville de Matane engage de Mme Théodule Desrosiers comme téléphoniste à la station de feu.
Le 17 juillet 1955, J.-Robert Turcotte lance son entreprise de coupe-froid, selon le journal de la Chambre de commerce Senior.
Le 17 juillet 1959, la Traverse Matane-Godbout limitée, fondée par les Matanais Félix-Adrien Gauthier, Rosaire Vigneault et Joseph-Lucien Deschênes, obtient ses lettres patentes du gouvernement du Québec.
Le 17 juillet 1968, l’évêque de Rimouski, Mgr Louis Lévesque émet le décret d’érection canonique de la paroisse Saint-René-de-Matane.
Le 17 juillet 1996, le journal La Voix gaspésienne indique dans sa première page que l’humoriste vedette Jean-Marc Parent a attiré 15 000 personnes avec la Tournée Splash à Matane. Il a donné un spectacle avec le groupe Mercedes Band près du parc des Îles.
