Éphémérides du 29 mars : inauguration de l’école Bon-Pasteur de Matane agrandie et rénovée en 1985

Des visiteurs dans la nouvelle partie de l’école Bon-Pasteur. Photo : Romain Pelletier

Le 29 mars 1985, plus de 150 personnes assistent à la coupe du ruban marquant l’inauguration de l’écoleBon-Pasteur agrandie et réaménagée, située sur le boulevard Dion â Matane.

Une occasion pour tout le monde de visiter l’établissement et de se rendre compte l’importance des travaux qui ont été réalisés au coût de 1 370.000 $.

Pour souligner l’événement, l’entrepreneur principal de travaux, la firme Ernest Desrosiers de Matane, offre le vin d’honneur. Les visites se poursuivent par la suite jusque vers 23 h.

Les travaux comme tels ont coûté 1 370.000 $. Maintenant, l’école élémentaire compte sept classes de cours régulier, deux classes de maternelle, un gymnase, deux vestiaires, en plus des locaux réservés à l’administration, au corps enseignant et à des groupes en réadaptation scolaire.

Bon-Pasteur est aujourd’hui accessible aux personnes handicapées. On a pensé à installer des rampes et des douches.

Les gens qui circulent en fauteuil roulant peuvent dorénavant se rendre dans la grande salle et circuler au rez-de-chaussée dans la nouvelle partie.

Autres éphémérides

Le 29 mars 1913, naissance à Rimouski de J. Désiré Collin qui deviendra un homme d’affaires de Matane. À l’âge de 17 ans, il débutait au service de P.T. Légaré. Il fut nommé gérant à Louiseville puis gérant pour P.T. Légaré à Matane. En 1939, il ouvrait un commerce à son compte, connu sous la raison sociale Le Meuble Canadien. Il devient concessionnaire International-Harvester en 1956. Le 15 juillet 1934, il a épousé Laura Isabel. Quatorze enfants sont nés de cette union : Germain, Ghislaine, Denise, Lisette, Noëlla, Marcel, Jeannot, Ginette, Lorraine, Roger, Jocelyn, Marise, Michelle et Denis.

Le 29 mars 1939, Lumina Pelletier-Gauthier termine comme maîtresse de poste du bureau de Cap-à-la-Baleine (Sainte-Félicité). Elle l’était depuis le 27 décembre 1932.

Le 29 mars 1949, Joachim Caron cesse d’être le maître de poste du bureau de Saint-Nil. Il l’était depuis le 1er mai 1947.

Le 29 mars 1996, après avoir présenté l’an dernier la pièce « Les dix petits nègres » (renommé en 2020 « Ils étaient dix ») d’Agatha Christie, la troupe du Théâtre Le Flotd’idées de Matane annonce qu’elle donnera trois représentations de la comédie « Le dindon » de Georges Feydeau. Les représentations de cette pièce jouée pour la première fois le 8 février en 1896 auront lieu le vendredi 12 avril à 20 h 30. le samedi 13 avril à 20 h 30 et le dimanche 14 avril à 14 h 30, au grand audito de la Polyvalente. Marie-Brigitte Lehouillier signe la mise en scène et Stéphane Ballavance, la scénographie.

Les personnages de la pièce : Vatelin (Frédérick Anctil, Lucienne (Marie-Brigitte Lehouillier), Mme Pinchard (Geneviève Audy), M. Pinchard (Mylène Fortin), Rédillon (Christian Harvey), Amandine (France Charette), Maggy (Marie-Ève Belzile), M. Solignac (Nicolas Crépeau), Clara (Priscilla Durette), Mme Pontagnac (Marie Bernard-Pedneault), ainsi que Victor et Gérôme (Vanessa Durette). Stéphane Gagnon interprétera le rôle de Pontagnac. Photo : Romain Pelletier

Le 29 mars 1999, née le 29 mars 1897 à Saint-Ulric, Laure Dion Gendron a fêté ses 102 ans avec des membres de sa famille et des amis, le 27 mars, à l’hôpital de Matane où elle vit depuis mai 1995. Ces derniers lui ont remis des cadeaux, ainsi que fait boire du champagne et manger du gâteau, dans la verrière à l’étage des soins prolongés. Ses proches expliquent sa longévité par sa bonne humeur. Mariée en juin 1928 à Georges Gendron de Saint-Moïse, elle lui a donné trois fils : Ghislain et Jean-Marc qui sont devenus prêtres de même que Georges qui a été dentiste. Seul Ghislain est encore de ce monde.

Laure Dion Gendron à 102 ans. Photo : Romain Pelletier

Le 29 mars 2000, le journal « La Voix gaspésienne » rapporte qu’Harold Thériault de Line 2000 a inauguré le samedi 25 mars en après-midi son tout nouvel immeuble dans le parc industriel de Matane, lors d’une opération portes ouvertes. Le curé de la paroisse Bon-Pasteur, Rosaire Dionne, a béni les lieux en présence de nombreux invités. En affaires depuis 13 ans. Harold Thériault a commencé chez lui (d’abord pour les concessionnaires automobiles) avant de louer 8 ans plus tard un local sur ta rue du Parc industriel. Aujourd’hui, à la suite d’un investissement de 200 000 $, il est le propriétaire de l’immeuble où il loge et des équipements qui s’y trouvent. Il embauche trois personnes et peut compter sur les services de trois représentants, soit à Gaspé, Baie-Comeau et Trois-Rivières.

Un des fils d’Harold Thériault et de sa femme Chantale Métivier, soit Maxime, coupe le traditionnel ruban marquant l’inauguration en présence de son petit frère Samuel et d’invités. Photo : Romain Pelletier

Le 29 mars 2002, près d’une centaine de marcheurs ont porté la croix pour marquer le Vendredi saint. Ils sont partis du Centre de la Fraternité des Chevaliers de Colomb de Matane et se sont rendus jusqu’à l’église Bon-Pasteur.

Des porteurs de la croix, au départ du Centre de la Fraternité des Chevaliers de Colomb. Photo : Romain Pelletier

Le 29 mars 2005, à la suite d’une aide financière de 222 500 $ du Gouvernement du Québec, le Foyer d’accueil de Matane aménagera une deuxième unité adaptée aux personnes présentant entre autres des troubles de mémoire qui ont tendance à faire des fugues.

Le 29 mars 2013, la formation acadienne Radio Radio se produit devant quelque 150 spectateurs dans le puits du hall du Cégep de Matane. Accompagnée d’un trompettiste, elle livre un spectacle énergique d’environ deux heures des plus animés et sans temps mort. À la toute fin du spectacle, plusieurs spectateurs montent sur scène pour accompagner les musiciens et terminer cette prestation en beauté.

Des spectateurs sur scène lors de la prestation de la formation Radio Radio. Photo : Romain Pelletier

Le 29 mars 2013, à l’origine du chemin de croix vivant présenté le Vendredi saint, à l’église Saint-Jérôme de Matane, Aldéa Sirois tire sa révérence à titre de metteur en scène et de réalisatrice. La 10e représentation en autant d’années, sauf en 2010 à cause des réparations au clocher de l’église et à la présentation du Théâtre Théamo en 2011, est certainement la dernière pour ma part, confie-t-elle. Je crois que c’est le temps qu’une relève prenne le flambeau pour en assurer la continuité. »

À l’origine de ce chemin vivant : Aldéa Sirois, avec une partie de la distribution. Photo : Romain Pelletier