Le député Pascal Bérubé est fier des gains obtenus en environnement

Pascal Bérubé, député de Matane-Matapédia.

Le député de Matane-Matapédia-Mitis, Pascal Bérubé, se dit fier des gains qu’il a obtenus en matière d’environnement pendant son mandat. Parmi les dossiers majeurs, on retrouve la désignation des Monts Chic-Chocs au Registre des aires protégées du Québec et l’obtention d’une somme de 11,5 millions de dollars pour des travaux visant à contrer l’érosion et la submersion côtières pour les municipalités riveraines.  

M. Bérubé a aussi souligné le financement apporté à plusieurs initiatives locales qui protègent l’environnement, contribuent à l’autonomie alimentaire et permettent d’établir des circuits courts entre les producteurs et les consommateurs. Parmi ces initiatives, notons entre autres les Marchés publics de La Mitis, La Matapédia et La Matanie, le développement des jardins communautaires de Mont-Joli et de Sainte-Angèle-de-Mérici et les différents projets pédagogiques et de protection environnementale des organismes Éco Mitis et Zoom Nature. 

Voici quelques propositions du Parti Québécois en matière d’environnement au niveau régional : 

  • Protéger les zones maritimes et côtières, notamment par la mise en place des mesures d’adaptation et de lutte contre l’érosion et la submersion pour tous les territoires côtiers touchés; 
  • Mettre en place rapidement les solutions déjà identifiées pour assurer la survie du caribou montagnard, et ce, avec tous les acteurs impliqués dans ce dossier; 
  • Accélérer l’électrification des transports en région, autant le transport individuel que collectif et développer une filière industrielle de véhicules électriques de tous les types; 
  • Accompagner les municipalités afin de développer un réseau structuré de bornes de recharges qui soutiendra le développement économique des centres-villes et des villages; 
  • Bonifier la Charte du bois, utiliser davantage de bois québécois dans la construction d’infrastructures au Québec et s’assurer que les besoins intérieurs québécois sont comblés avant d’autoriser l’exportation de la ressource.