Marie-Brigitte Lehouillier dit Louyer expose tant à Matane qu’à Rimouski

Depuis 2020, Marie-Brigitte dit Louyer a réalisé plus de 70 collages et aquarelles sur toile. Photo Romain Pelletier

Arrivée dans le monde du collage depuis près de deux ans, l’artiste multidisciplinaire Marie-Brigitte Lehouillier dit Louyer, de Saint-Adelme, expose des collages et aquarelles sur toile, tant à Matane qu’à Rimouski.

D’abord connue dans le milieu théâtral, la collagiste propose une partie des collections « Affleure de papier », « Femme amalgame » et « Défi 1 heure », à la bibliothèque municipale située au complexe culturel Joseph-Rouleau, ainsi qu’à la Clinique Bleue, au 290, avenue Saint-Jérôme.

Et jusqu’au 31 décembre, elle présente une partie des collections « Femme amalgame » et « Affleure de papier », au restaurant Le Crêpe Chignon, 140, avenue de la Cathédrale, à Rimouski.

Louyer réalise ses créations à partir de milliers de bouts de papier provenant de livres abandonnés auxquels elle y ajoute ses aquarelles. Elle en fait même sur mesure.

Deux des toiles de la collection « Affleure de papier ». Photo Romain Pelletier

Déjà plus de 70 oeuvres

Depuis 2020, Marie-Brigitte Lehouillier a créé plus de 70 toiles. Sa toute nouvelle collection, présentant des hommes, s’intitule « Chevaliers de papier ».

Deux des oeuvres de la collection « Femme amalgame ». Photo Romain Pelletier

En plus de Matane et Rimouski, elle a exposé à Sainte-Anne-des-Monts (bibliothèque Blanche-Lamontagne), Amqui (bibliothèque Madeleine-Gagnon), Mont-Joli (bibliothèque Jean-Louis-Desrosiers) et Sainte-Flavie (Galerie d’art du Vieux Presbytère). Son souhait : être présente dans des galeries à Québec et Montréal.

En 2023, Louyer prévoit exposer la collection « Affleure de papier », en juillet, à la salle Isabelle-Boulay du complexe culturel Joseph-Rouleau de Matane, de même qu’en juillet et en août, à la bibliothèque Madeleine-Gagnon à Amqui. Aussi au programme : « Femme amalgame », en octobre, au campus de l’Université du Québec à Rimouski.

Pour Louyer, « le défi 1 heure demeure un exercice d’artiste, une sorte de refus de m’incliner devant cette injustice. Un combat pour défier cet autre moi, un refus de me soumettre. Une bravade contre ce bavardage pour enfin créer sans crainte d’être jugé ». Photo Romain Pelletier