Pascal Bérubé plaide par la réalisation du complexe aquatique à Matane

L’extérieur du complexe aquatique projeté. Ville de Matane

Tout comme le maire de Matane Eddy Métivier qu’il a rencontré, le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, a bon espoir d’obtenir du financement pour la réalisation du complexe aquatique pour remplacer la piscine municipale en fin de vie.

Dès maintenant, M. Bérubé commence à plaider pour obtenir le maximum definancement d’un futur programme auprès de la ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air, Isabelle Charest ainsi que de la ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, Maïté Blanchette Vézina.

Essentiel pour une ville comme Matane

Selon M. M. Bérubé, le complexe aquatique est essentiel pour une ville comme Matane. Il souligne qu’elle a un dossier complet et fort étoffé pour ce projet moderne et adapté aux besoins des utilisateurs.

M. Bérubé mise sur le fait que la Coalition avenir Québec (CAQ) s’est engagée en campagne électorale à réaliser « le plus grand chantier de l’histoire du Québec pour rénover et construire des installations sportives ».

On parle ici d’un investissement de 1,5 milliard de dollars sur 10 ans. Le gouvernement du Québec financera jusqu’à 66 % des projets à concurrence de 10 millions de dollars par projet.

Une image illustrant à quoi ressemblerait l’intérieur la nouvelle infrastructure. Gracieuseté

Coût projeté en : 17 M $

Lors de l’annonce du projet en février 2019, l’évaluation des coûts était de 17 millions de dollars incluant la construction du complexe, l’aménagement extérieur, la démolition de l’ancienne piscine et les taxes.

Actuellement, d’après la Ville, la piscine accueille un peu plus de 38 000 entrées par année, une moyenne de 115 usagers par jour. La piscine actuelle ne répond pas à la demande de notre population, surtout lors des périodes de pointe. Il est donc nécessaire de passer à un bassin de six corridors.

La piscine actuelle, érigée en 1967, agrandie et rénovée à plusieurs reprises, est en fin de vie utile. Photo Romain Pelletier