« Soins infirmiers » : le programme où le Cégep de Matane performe le mieux

Selon le 3e « Palmarès des cégeps du Journal de Québec », le Cégep de Matane, qui compte 893 étudiants, réalise sa meilleure performance grâce au programme « Soins infirmiers ».

Ainsi, il se classe 17e sur les 44 au Québec. Son taux de diplomation : 66 %, un peu mieux que le taux moyen sur cinq ans au Québec avec 65,29 % *.

Sa deuxième meilleure performance est en « Sciences de la nature » alors qu’il termine 19e sur 52. Son taux de diplomation : 85,53 % alors que le taux moyen sur cinq ans au Québec est de 85,33 %.

En « Sciences humaines », il finit 24e sur 52. Son taux de diplomation : 61,14 %, très légèrement sous la moyenne québécoise au cours des cinq dernières années avec 61,60 %.

Finalement, en « Informatique », il figure en 28e place sur 40. Le taux de diplomation : 56,52 % *.

Là où les gars réussissent le mieux : en « Sciences de la nature »

Nouveau cette année : le « Journal » a dressé le palmarès où les gars réussissent le mieux. Le Cégep de Matane termine en 6e position en « Sciences de la nature » avec un taux de diplomation de 83,72 % *, soit mieux que le taux au Québec sur cinq ans de 81,84 %.

Matane est devancé par les cégeps de Sorel-Tracy, de Baie-Comeau, de Limoilou, John Abbot et de Saint-Félicien.

En « Informatique », il se classe en 30e position avec un taux de diplomatie de 55,56 % *, à peu de chose près de la moyenne québécoise sur ans de 56,51 %.

Enfin, en « Sciences humaines », il arrive en 38e place avec un taux de diplomation de 37,74 %, loin derrière le taux moyen sur cinq ans au Québec avec 51,49 %.

Pour un choix éclairé

D’après le « Journal », à moins de deux semaines du 1er mars, date limite pour s’inscrire, cet outil qu’est le « Palmarès » renferme une foule d’informations utiles permettant aux futurs collégiens et à leurs parents de faire un choix éclairé.

* Cette donnée doit être interprétée avec prudence en raison du faible nombre d’inscriptions, soit moins de 50 nouveaux étudiants en cinq ans.

Le hall d’entrée de la maison d’enseignement en temps de pandémie de COVID-19. Photo : Romain Pelletier