Trois étudiants de la Matanie obtiennent une bourse du Prêt d’honneur de l’Est du Québec

Au total, le Prêt d’honneur de l’Est du Québec remet 10 750 $ en bourses, dont une à un étudiant Centre de formation professionnelle (CFP) de Matane. Arsenal Media - Photo Romain Pelletier

À la suite d’une campagne publique de financement et à une gestion qualifiée de très serrée de ses finances, le Prêt d’honneur de l’Est du Québec (PHEQ) remet 10 750 $ en bourses de soutien financier à des étudiantes et étudiants en situation précaire de 24 institutions scolaires de la région.

En Matanie, les trois récipiendaires sont : Mélissa Deschênes (Matane) du Cégep de Matane, Marylin Drolet (Matane) du Centre de formation professionnelle (CFP) de Matane et Mateo Valencia Arsenault (Saint-Ulric) du Centre d’éducation des adultes (CEA) de Matane. Ils reçoivent respectivement une bourse de 750 $, 500 $ et 250 $.

Pour l’année scolaire 2020-2021, en raison de la pandémie, les boursières et boursiers du Prêt d’honneur de l’Est du Québec recevront leur bourse par la poste.

Afin d’encourager la persévérance et la détermination d’étudiantes et d’étudiants

« Après une implication de plus de 50 ans au Bas-Saint-Laurent, le Prêt d’honneur de l’Est du Québec continue d’encourager la persévérance et la détermination d’étudiantes et d’étudiants », indique Richard Corbin, secrétaire du conseil d’administration.

Fondé en 1969, le Prêt d’honneur de l’Est du Québec est un organisme de bienfaisance reconnu par l’Agence du revenu du Canada dont l’objectif premier est de venir en aide à des étudiants.es méritants.es, de niveau post-secondaire, qui font preuve de persévérance et dont les ressources financières sont limitées.

« Les membres du conseil d’administration, précise M. Corbin, sont convaincus que la mission du PHEQ est toujours actuelle d’autant plus qu’il est le seul organisme de notre région à venir en aide aux étudiantes et aux étudiants de niveau secondaire professionnel, collégial et universitaire qui sont aux prises avec des difficultés financières qui peuvent compromettre la poursuite de leurs études. »